Thursday 19 January 2017

Options Fiscales Salariales Salariées

Bulletin des options d'achat d'actions pour employés Publié: janvier 2008 Dernière révision du contenu: octobre 2009 ISBN: 978-1-4249-4458-3 (impression), 978-1-4249-4459-0 (PDF), 978-1-4249-4460- 6 (HTML) Cette publication est fournie à titre indicatif. Elle ne vise pas à remplacer la Loi et le Règlement sur l'impôt-santé des employeurs. 1. Responsabilité fiscale de l'employeur sur les options d'achat d'actionspara Objet du bulletin Ce bulletin aidera les employeurs à déterminer quels montants sont assujettis à l'impôt-santé de l'employeur. L'EHT est payable par les employeurs qui paient une rémunération: aux employés qui se présentent au travail dans un établissement stable (PE) de l'employeur en Ontario, ou aux employés qui ne se présentent pas au travail chez un employeur de l'employeur mais qui sont rémunérés Un PE de l'employeur en Ontario. Un employé est considéré comme se présenter au travail à un établissement stable d'un employeur si l'employé vient à l'établissement stable en personne pour travailler. Si l'employé-e ne se présente pas personnellement à un établissement stable pour travailler, il est réputé se présenter au travail dans un établissement stable s'il peut raisonnablement être considéré comme rattaché à l'établissement stable. Pour de plus amples renseignements sur ce sujet, veuillez consulter le Bulletin d'information intitulé Établissement stable. Options d'achat d'actions Les options d'achat d'actions des employés sont accordées en vertu d'une convention d'émission de valeurs mobilières par laquelle une société offre à ses employés (ou employés d'une société sans lien de dépendance) le droit d'acquérir des titres de l'une ou l'autre de ces sociétés. Le terme titres désigne des actions du capital-actions d'une société ou des parts d'une fiducie de fonds commun de placement. Définition de la rémunération La rémunération au sens du paragraphe 1 (1) de la Loi sur la taxe sanitaire pour l'employeur comprend tous les paiements, prestations et allocations reçus ou réputés reçus par un particulier qui, en raison des articles 5, 6 ou 7 du revenu fédéral La Loi de l'impôt sur le revenu (LIR) doit être incluse dans le revenu d'un particulier ou être exigée si le particulier résidait au Canada. Les prestations d'options d'achat d'actions sont incluses dans le revenu en raison de l'article 7 de la LIR fédérale. Les employeurs sont donc tenus de verser l'ISE sur les options d'achat d'actions. Sociétés sans lien de dépendance Si une personne morale qui, au sens de l'article 251 de la LIR fédérale, donne à l'employeur une option d'achat d'actions à l'intention d'un employé, la valeur de toute prestation reçue en raison du stock Est incluse dans la rémunération versée par l'employeur aux fins de l'ISE. L'employeur est tenu de verser l'ISE sur la valeur de tous les avantages d'options d'achat d'actions qui surviennent lorsqu'un employé exerce une option d'achat d'actions pendant une période où sa rémunération est assujettie à l'ISE. Cela inclut les options d'achat d'actions qui peuvent avoir été accordées pendant que l'employé se présente au travail à un PE non-Ontario de l'employeur. L'employeur n'est pas tenu de verser l'ISE sur la valeur des options d'achat d'actions découlant de l'exercice d'options d'achat d'actions par un employeur à l'extérieur de l'Ontario. L'employeur est tenu de verser l'ISE sur la valeur des avantages d'options d'achat d'actions qui surviennent lorsqu'un employé qui exerce des options d'achat d'actions ne se présente pas au travail à un PE de l'employeur mais est payé D'un PE de l'employeur en Ontario. Anciens salariés Un employeur est tenu de verser l'ISE sur la valeur des avantages d'options d'achat d'actions d'un ancien employé si la rémunération des anciens employés était assujettie à l'ISE à la date à laquelle le particulier a cessé d'être un employé. 2. Lorsque les avantages d'options d'achat d'actions deviennent imposablespara Règle générale L'employé qui exerce une option d'achat d'actions pour acquérir des titres doit inclure dans le revenu d'emploi une prestation déterminée en vertu de l'article 7 de la LIR fédérale. Sociétés privées sous contrôle canadien (SPCC) Si l'employeur est une SPCC au sens du paragraphe 248 (1) de la LIR fédérale. L'employé est réputé avoir reçu un avantage imposable en vertu de l'article 7 de la LIR fédérale au moment où il cède les actions. Les employeurs sont tenus de payer EHT au moment où l'employé (ou ancien employé) dispose des actions. Lorsque des options d'achat d'actions sont émises par une SPCC. Mais sont exercées par l'employé après que la société a cessé d'être une SPCC. La valeur de la prestation sera incluse dans la rémunération aux fins de l'ISE au moment où l'employé dispose des titres. Sociétés privées non contrôlées par le Canada (Non-SPCC) Tout avantage imposable résultant de l'exercice d'options d'achat d'actions sur des titres qui ne font pas partie d'une SPCC. Y compris les titres cotés en bourse ou les titres d'une société sous contrôle étranger, doivent être inclus dans le revenu d'emploi au moment où les options sont exercées. L'ISE est payable dans l'année où l'employé exerce les options d'achat d'actions. Le report fédéral d'imposition ne s'applique pas à la TVH Aux fins de l'impôt fédéral seulement, un employé peut différer l'imposition d'une partie ou de la totalité de l'avantage découlant de l'exercice d'options sur actions visant l'acquisition de titres cotés en bourse jusqu'au moment où l'employé cède les titres. Le report fédéral de l'impôt sur les options d'achat d'actions n'est pas applicable aux fins de l'ISE. Les employeurs sont tenus de verser l'ISE sur les options d'achat d'actions au cours de l'année où l'employé exerce les options d'achat d'actions. 3. Les employeurs qui effectuent directement des recherches scientifiques et du développement expérimental et satisfont aux critères d'éligibilité sont exemptés de verser l'ISE sur les prestations d'options d'achat reçues par leurs employés. Pour les SPCC, l'exonération est disponible pour les options d'achat d'actions d'employés octroyées avant le 18 mai 2004, à condition que les actions visées soient cédées ou échangées par l'employé après le 2 mai 2000 et au plus tard le 31 décembre 2009. Pour les non - Les options sont offertes avant le 18 mai 2004, à condition que les options soient exercées après le 2 mai 2000 et au plus tard le 31 décembre 2009. Tous les avantages liés aux options d'achat d'actions accordés Le 17 mai 2004, sont assujettis à l'EHT. Critères d'admissibilité Pour être admissible à cette exemption pour une année, l'employeur doit satisfaire à tous les critères d'admissibilité suivants au cours de l'année d'imposition de l'employeur précédant l'année d'imposition qui se termine dans l'année: L'employeur doit entreprendre directement une recherche scientifique et un développement expérimental (au sens du paragraphe 248 (1) de la LIR fédérale) au PE en Ontario au cours de l'année d'imposition précédente Les dépenses admissibles des employeurs pour l'année d'imposition précédente ne doivent pas être inférieures à 25 millions ou 10 pour cent des dépenses totales des employeurs (définies ci-dessous) pour cette année d'imposition, selon le moins élevé des montants suivants: Être inférieur à 25 millions ou 10 pour cent des employeurs ont ajusté le revenu total (tel que défini ci-dessous) pour cette année d'imposition, selon le moindre des deux montants. Par exemple, si l'employeur remplit tous les critères d'admissibilité ci-dessus au cours de son année d'imposition se terminant le 30 juin 2001, il peut demander l'exemption de l'ISE pour l'année 2002. Les entreprises en démarrage qui n'ont pas d'année d'imposition antérieure peuvent appliquer des tests admissibles à leur première année d'imposition. La recherche scientifique et le développement expérimental réalisés au cours de leur première année d'imposition détermineront leur admissibilité pour la première et la deuxième année d'application de l'ISE. Fusions Dans la première année d'imposition se terminant après une fusion, l'employeur peut appliquer les tests admissibles à l'année d'imposition de chacune des sociétés remplacées qui s'est terminée immédiatement avant la fusion. Dépenses admissibles Les dépenses admissibles sont celles engagées par l'employeur dans le cadre d'activités de recherche scientifique et de développement expérimental qui sont admissibles à la superproduction de développement de recherche et développement (RampD) en vertu de la Loi sur l'imposition des sociétés (Ontario). Les paiements contractuels reçus par l'employeur pour l'exécution de RampD pour une autre entité sont inclus dans les dépenses admissibles. Les paiements contractuels effectués par l'employeur à une autre entité pour RampD exécutés par l'autre entité ne sont pas inclus dans les dépenses admissibles de l'employeur. Plus précisément, les dépenses admissibles de l'employeur pour une année d'imposition sont calculées comme suit: (ABminusC), où: représente le total des dépenses engagées au cours de l'année d'imposition en PE en Ontario, chacune constituant une dépense admissible en vertu du paragraphe 12 ) De la Loi de l'impôt sur les sociétés (Ontario), soit un montant visé au sous-alinéa 37 (1) a) (i) ou 37 (1) b) (i) À l'alinéa b) de la définition de la dépense admissible au paragraphe 127 (9) de la LIR fédérale) pour l'année d'imposition est la réduction de A exigée aux paragraphes 127 (18) à (20) D'un paiement contractuel et est le montant payé ou à payer par l'employeur au cours de l'année d'imposition qui est inclus dans A et qui serait un paiement contractuel au sens du paragraphe 127 (9) de la LIR fédérale qui est fait au bénéficiaire du montant . Dépenses admissibles déterminées Les dépenses admissibles déterminées de l'employeur pour une année d'imposition comprennent: les dépenses admissibles des employeurs pour l'année d'imposition; la part des employeurs des dépenses admissibles d'une société de personnes dans laquelle elle est membre au cours d'un exercice financier de la société de personnes qui se termine par l'imposition Année et les dépenses admissibles de chaque société associée qui a un PE au Canada pour toute année d'imposition qui se termine dans l'année d'imposition des employeurs, y compris la part des dépenses des sociétés admissibles d'une société de personnes dans laquelle elle est membre. Total des dépenses Les dépenses totales des employeurs sont déterminées conformément aux principes comptables généralement reconnus (PCGR), à l'exclusion des éléments exceptionnels. Les méthodes de consolidation et d'équité ne sont pas utilisées. Revenu total Le revenu total d'un employeur est le revenu brut déterminé selon les PCGR (sans utiliser les méthodes de consolidation et les méthodes de comptabilisation à l'avoir), moins les revenus bruts provenant d'opérations avec des sociétés associées ayant un PE au Canada ou des partenariats dans lesquels l'employeur ou les associés Est membre. Revenu total ajusté Les employeurs ont ajusté les recettes totales pour une année d'imposition correspondent au total des montants suivants: revenus totaux de l'employeur pour l'année d'imposition la part des employeurs du revenu total d'une société de personnes dans laquelle elle est membre au cours d'un exercice financier Une société de personnes qui se termine dans le revenu total de l'année d'imposition de chaque société associée qui a un PE au Canada pour toute année d'imposition qui se termine dans l'année d'imposition des employeurs, y compris les sociétés associées. Années d'imposition courtes ou multiples Les dépenses admissibles, les dépenses totales et le revenu total sont extrapolés aux montants de l'année complète où il y a des années d'imposition courtes ou multiples au cours d'une année civile. Partenariats Si un associé est un membre déterminé d'une société de personnes (au sens du paragraphe 248 (1) de la LIR fédérale), la part des dépenses admissibles, des dépenses totales et du revenu total de la société de personnes attribuable au partenaire est réputée nulle . 4. Résumé de l'EHT sur les options d'achat d'actions pour les avantages et la valeur des options d'achat d'actions C'est une vérité souvent négligée, mais la capacité pour les investisseurs de voir exactement ce qui se passe dans une entreprise et de pouvoir comparer les entreprises sur la même métrique est L'une des parties les plus vitales de l'investissement. Le débat sur la façon de rendre compte des options d'achat d'actions offertes aux employés et aux cadres a été discuté dans les médias, les conseils d'administration des sociétés et même au Congrès des États-Unis. Après de nombreuses années de querelles, le Financial Accounting Standards Board. Ou FASB, a publié la déclaration FAS 123 (R). Qui prévoit la comptabilisation obligatoire des options d'achat d'actions à compter du premier trimestre de l'exercice social suivant le 15 juin 2005. (Pour en savoir plus, consultez Les dangers des options de rétrocession. Le véritable coût des options d'achat d'actions et une nouvelle approche de la rémunération en actions. Doivent savoir comment identifier les sociétés les plus touchées - non seulement sous la forme de révisions à court terme des bénéfices ou de PCGR par rapport aux bénéfices pro forma -, mais aussi par les changements à long terme des méthodes de rémunération et les effets que la résolution aura sur De nombreuses entreprises à long terme des stratégies pour attirer les talents et la motivation des employés. Une courte histoire de l'option d'achat d'actions à titre de rémunération La pratique consistant à donner des options d'achat d'actions à des employés de la société est vieille de plusieurs décennies. En 1972, le Conseil des Principes de Comptabilité (APB) a émis l'avis n ° 25 qui demandait aux entreprises d'utiliser une méthodologie de valeur intrinsèque pour la valorisation des stock-options octroyées aux salariés de la société. Selon les méthodes de valeur intrinsèque utilisées à l'époque, les sociétés pouvaient émettre des options d'achat d'actions au gré du marché sans comptabiliser de charges sur leurs relevés de résultat. Car les options ont été considérées comme n'ayant aucune valeur intrinsèque initiale. (Dans ce cas, la valeur intrinsèque est définie comme la différence entre le prix de subvention et le prix de marché du stock, qui au moment de l'octroi serait égal). Ainsi, bien que la pratique de ne pas enregistrer les coûts pour les options d'achat d'actions a commencé il ya longtemps, le nombre étant remis était si petite que beaucoup de gens l'ont ignoré. Avance rapide à 1993 Section 162m du Internal Revenue Code est écrit et limite effectivement la rémunération en espèces des dirigeants d'entreprise à 1 million par année. C'est à ce stade que l'utilisation d'options d'achat d'actions comme une forme de compensation commence vraiment à décoller. Coincidant avec cette augmentation de l'octroi d'options est un marché haussier en rage dans les actions, en particulier dans les stocks liés à la technologie, qui bénéficie des innovations et une demande accrue des investisseurs. Bientôt, il n'était pas seulement les cadres supérieurs de recevoir des options d'achat d'actions, mais les employés de rang-et-fichier ainsi. L'option d'achat d'actions est passée de la faveur de la direction d'arrière-salle à un avantage concurrentiel complet pour les entreprises qui souhaitent attirer et motiver les meilleurs talents, en particulier les jeunes talents qui ne se soucient pas d'avoir quelques options pleines de chance D'argent supplémentaire viennent payday. Mais grâce à l'essor du marché boursier. Au lieu des billets de loterie, les options accordées aux employés étaient aussi bonnes que l'or. Cela a fourni un avantage stratégique clé aux petites entreprises avec des poches plus superficielles, qui pourraient économiser leur argent et simplement émettre de plus en plus d'options, tout en ne pas enregistrer un sou de la transaction comme une dépense. Warren Buffet a postulé sur l'état des choses dans sa lettre de 1998 aux actionnaires: Bien que les options, si correctement structuré, peut être une façon appropriée, et même idéal, de compenser et de motiver les dirigeants, ils sont plus souvent capricieux dans leur distribution de récompenses , Inefficaces en tant que facteurs de motivation et excessivement coûteux pour les actionnaires. Son temps d'évaluation En dépit d'avoir une bonne course, la loterie a finalement fini - et brusquement. La bulle de la technologie dans le marché boursier éclaté, et des millions d'options qui étaient autrefois rentables était devenu sans valeur, ou sous l'eau. Les scandales corporatifs ont dominé les médias, comme la cupidité écrasante observée dans des entreprises comme Enron. Worldcom et Tyco ont renforcé la nécessité pour les investisseurs et les régulateurs de reprendre le contrôle de la comptabilité et des rapports appropriés. Certes, au FASB, principal organisme de réglementation des normes comptables américaines, ils n'avaient pas oublié que les options d'achat d'actions étaient une dépense avec des coûts réels pour Sociétés et actionnaires. Quels sont les coûts Les coûts que les options d'achat d'actions peuvent poser aux actionnaires sont une question de beaucoup de débat. Selon le FASB, aucune méthode spécifique d'évaluation des subventions d'options n'est imposée aux entreprises, principalement parce qu'aucune meilleure méthode n'a été déterminée. Les options d'achat d'actions accordées aux employés ont des différences importantes par rapport à celles vendues sur les bourses, comme les périodes d'acquisition des droits et le manque de transférabilité (seul l'employé peut les utiliser). Dans sa déclaration ainsi que dans la résolution, le FASB tiendra compte de toute méthode d'évaluation, pourvu qu'elle intègre les variables clés qui composent les méthodes les plus couramment utilisées, comme Black Scholes et binomial. Les variables clés sont les suivantes: Le taux de rendement sans risque (habituellement un taux de t-bill de trois ou six mois sera utilisé ici). Taux de dividende prévu pour le titre (société). Volatilité implicite ou prévue du titre sous-jacent pendant la durée de l'option. Prix ​​d'exercice de l'option. Durée prévue de l'option. Les sociétés sont autorisées à utiliser leur propre discrétion lors du choix d'un modèle d'évaluation, mais elles doivent également être approuvées par leurs vérificateurs. Néanmoins, il peut y avoir des différences étonnamment importantes dans les évaluations de fin en fonction de la méthode utilisée et des hypothèses en place, en particulier les hypothèses de volatilité. Parce que les entreprises et les investisseurs entrent dans un nouveau territoire ici, les valorisations et les méthodes sont tenus de changer au fil du temps. Ce qui est connu est ce qui s'est déjà produit, et c'est que de nombreuses entreprises ont réduit, ajusté ou éliminé leurs programmes existants d'options d'achat d'actions. Face à la perspective d'avoir à inclure les coûts estimés au moment de l'octroi, de nombreuses entreprises ont choisi de changer rapidement. Considérons les statistiques suivantes: Les subventions octroyées par les sociétés SampP 500 sont passées de 7,1 milliards en 2001 à seulement 4 milliards en 2004, soit une diminution de plus de 40 en seulement trois ans. Le graphique ci-dessous illustre cette tendance. Une ronde de financement où les investisseurs achètent des actions d 'une société à une valeur inférieure à l' évaluation effectuée sur la. Un raccourci pour estimer le nombre d'années nécessaires pour doubler votre argent à un taux annuel donné de rendement (voir annuel composé.) Le taux d'intérêt appliqué à un prêt ou réalisé sur un investissement sur une période de temps spécifique. Les CDO ne se spécialisent pas dans un type de dette: l'année au cours de laquelle le premier afflux de capitaux d'investissement est livré à un projet ou une entreprise. Leonardo Fibonacci est un mathématicien italien né au XIIe siècle. Il est connu pour avoir découvert les nombres de Fibonacci, quot.


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